Dans les cancers du sein hormonodépendants, le bénéfice de la chimiothérapie1 ne se questionne pas si la probabilité que la maladie récidive est élevée. En revanche, ce traitement peut s’avérer inutile quand le risque de rechute est faible.
À l’occasion d’Octobre Rose, nous vous proposons de faire le point sur un outil qui aide les oncologues à évaluer plus précisément ce risque : les signatures génomiques.
Quelles patientes peuvent en bénéficier ? Comment fonctionnent ces tests ? Sont-ils accessibles partout en France ?
On en parle avec le Pr Elise Deluche, chef du service d’oncologie médicale au CHU de Limoges.
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1. administrée en adjuvant, après la chirurgie.