Depuis 2 ans, Alexandra, 50 ans, consacre ses mercredis matin aux résidents de la Maison Médicale Jeanne Garnier, un établissement dédié aux soins palliatifs. Loin d’être un fardeau, ces moments sont pour elle des parenthèses d’une rare humanité et riches d’enseignements.
Auprès de ceux qui ont perdu l’usage de la parole, elle a ainsi découvert que sa simple présence suffit à apaiser. Elle y apprend aussi à « se décentrer » pour se mettre à l’écoute de l’autre.
À LIRE AUSSI : Aide à mourir : une loi aux critères encore flous