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«Je suis heureuse de ne plus avoir ces seins»

{{ config.mag.article.published }} 14 octobre 2011

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Laurence, 42 ans, a choisi de se faire tatouer plutôt que de se faire reconstruire.

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Aujourd’hui, je n’ai plus de seins du tout et je l’accepte. J’ai même décidé de me faire tatouer sur le torse une guirlande fleurie. Mes grandes cicatrices rappellent trop la maladie et j’ai envie de les cacher par quelque chose de gai, qui me plaît. C’est l’an dernier que l’on m’a annoncé un cancer du sein droit, alors que j’avais déjà été traitée à gauche deux ans auparavant. On m’a prescrit l’ablation et j’ai demandé que le gauche soit lui aussi retiré.

On m’a parlé de reconstruction immédiate. Mais j’hésitais et j’ai cherché des informations sur les différentes techniques. Je ne voulais ni d’une prothèse, ni qu’on m’enlève un morceau de muscle. Sur Internet, je suis tombée sur Les Amazones s’exposent. Et là, j’ai vu la photo d’une femme tatouée sur le buste. J’ai trouvé ça très beau. Ensuite, sur le site d’une autre association, Europa Donna, j’ai trouvé le témoignage d’une femme tatouée. Deux dermatologues contactés m’ont juste conseillé d’attendre que la cicatrice soit stabilisée et de veiller aux conditions d’hygiène et de stérilité. Restait à trouver le tatoueur.

J’ai choisi une femme, dont le trait me séduisait. À l’hôpital, après la double mastectomie, j’étais heureuse de ne plus avoir ces seins, symboles de la maladie. Quand je me suis vue dans la glace pour la première fois avec l’infirmière, j’ai trouvé ça bizarre, évidemment, mais pas horrible. C’était pire de ne plus avoir de cheveux ! Aujourd’hui, je ne me sens pas moins femme pour autant. La féminité ne dépend pas des seins, ils n’en sont qu’un détail. De toute façon, je n’aurais pas retrouvé les mêmes qu’avant. Je n’ai pas de difficulté à montrer mes cicatrices, mais avec le tatouage, ce sera quand même plus simple, j’ose dire plus séduisant. Déjà, j’ai donné tous mes soutiens-gorge à ma sœur.

Laurence


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