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Adopter après un cancer : difficile mais pas impossible

{{ config.mag.article.published }} 28 septembre 2020

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Marion Fayolle

Lorsque les traitements annihilent l’espoir d’une maternité et que le désir d’enfant demeure plus fort que tout, il reste l’adoption. Mais quelles sont les chances de se voir confier un enfant quand on a une histoire avec la maladie ?

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Anne entreprenait avec son compagnon les démarches pour une FIV lorsqu’on lui a découvert un cancer du sein triple négatif. « Nous avons tout arrêté pour mettre en place le protocole de soins. Un an plus tard, mon oncologue m’informait qu’une grossesse m’était fortement déconseillée. J’avais 36 ans », se souvient-elle. Après quelques mois d’hésitation, le couple se renseigne sur l’adoption. « Très vite, on nous a dit que ce serait très difficile par rapport à “mon profil”. Le mot cancer n’a pas été prononcé, mais c’était sous-entendu. Je ne me suis pas sentie assez forte pour subir cet échec. Nous avons abandonné. Mon mari a une fille d’une première union, nous avons une très belle relation toutes les deux. »

En France, l’adoption est plus que jamais un parcours du combattant : 12 000 familles sont actuellement en attente pour seulement 1 300 à 1 400 adoptions par an. La difficulté s’est amplifiée avec l’effondrement de l’adoption internationale. En 2006, 4 000 jeunes mineurs étrangers ont pu être adoptés par des familles françaises. En 2017, ils n’étaient plus que 685. Désormais, le nombre d’adoptions nationales (environ 700 par an) dépasse celui des adoptions internationales. Face à cette réalité, comment croire en ses chances lorsqu’on sort d’une épreuve comme le cancer ? « Même guérie, on reste, dans l’inconscient collectif, cette personne au fond de son lit, chauve et qui vomit », résume Marie*. Une personne fragile, à l’avenir incertain, à laquelle il serait irréfléchi de confier un enfant…

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Marion Fayolle

Mais hors de question pour Marie de renoncer. Victime d’un cancer des ovaires à 33 ans, avec ablation des trompes et de l’utérus, elle commence avec son mari les démarches six mois après la fin de ses traitements. « Bien sûr, nous avions peur d’être “blacklistés” à cause de mon cancer. Mais comment l’occulter ? C’est la racine même de notre projet. Et, une fois l’enfant adopté, il y a un suivi jusqu’à ses 18 ans. Nous n’imaginions pas ne pas lui en parler ou lui demander de se taire ! » Dès le premier rendez-vous, Marie raconte son histoire à la psychologue qui l’accueille. « Elle m’a dit : on ne va pas s’étendre là-dessus, on va juste dire que le traitement d’une maladie vous a rendue stérile. »

À l’autre bout de la France, Camille* a vécu une situation similaire. Divorcée, elle s’est retrouvée ménopausée à 32 ans après un cancer du sein, puis une récidive avec métastases et ablation des trompes et des ovaires. « L’adoption me trottait dans la tête, mais je croyais qu’il fallait être mariée. Puis j’ai appris que c’était possible aussi pour les célibataires. » Guérie depuis cinq ans, elle hésite à parler de son cancer. « Une de mes meilleures amies m’a dit : c’est la maladie qui t’amène à adopter, tu ne vas pas pouvoir cacher ça longtemps ! L’assistante sociale qui m’a reçue m’a remerciée d’être honnête et m’a dit que, pour mettre toutes les chances de mon côté, elle mentionnerait simplement une ménopause précoce. »

Officiellement, le cancer n’est pas rédhibitoire

adoption-cancer-rosemagazine-18-rose-up-associationCamille et Marie ont toutes deux obtenu l’agrément, sésame indispensable délivré par les conseils départementaux. La chance d’être tombées sur des interlocutrices sensibles à leur cause ? Officiellement, le cancer n’empêche pas de postuler pour l’adoption. « Nous instruisons les agréments de tous les candidats sans restriction, indique Sylvie Blaison, chef du service accueil et adoptions au conseil départemental du Val-d’Oise, et un précédent médical de cette nature n’est pas rédhibitoire. » « Ce qui est important, c’est la manière dont la personne va pouvoir se projeter avec l’enfant », confirme Marie-Hélène Guth, chef du service adoption, pupilles et origines du département du Rhône.

« En l’absence de critères précis dans la loi, chaque département dispose d’une certaine liberté d’appréciation. La procédure passe généralement par une réunion d’information, puis il faut constituer un dossier administratif et répondre à une enquête sociale et psychologique, qui comprend au moins deux rendez-vous avec un psychologue et/ou un psychiatre et un travailleur social. Parmi les documents à fournir figure un certificat médical attestant que l’état de santé des personnes du foyer ne présente pas de « contre-indication à l’accueil d’enfants en vue d’adoption  ». Selon les départements, il est délivré par le médecin traitant ou par un médecin agréé. Mais le cancer n’a pas à être mentionné. « Il ne s’agit pas de remplir un questionnaire de santé comme ceux demandés par les compagnies d’assurance », précise Marie-Hélène Guth. Cela dit, aucun « droit à l’oubli » n’est prévu. C’est au médecin d’apprécier seul la situation. Le Dr Odile Baubin, responsable des questions de santé au sein de l’association Enfance et familles d’adoption [EFA, cette association regroupe des familles adoptives et accompagne les candidats, NDLR], reconnaît que c’est une lourde responsabilité : « à l’origine, ces certificats ont été mis en place pour dépister l’alcoolisme ou des troubles psychiatriques ayant un impact à vie. Mais le cancer aujourd’hui se guérit. Il est légitime de faire des projets d’avenir », souligne-t-elle. Difficile de savoir si les médecins établissent facilement ces certificats ou si certains dissuadent les familles touchées de poursuivre les démarches.

Quant à l’enquête psychologique et sociale, elle vise surtout à étudier les motivations des postulants et leurs capacités – morales, éducatives, affectives, familiales – à offrir le meilleur foyer possible. Dans l’absolu, rien n’oblige à évoquer sa santé dès lors que le médecin a validé le certificat. C’est pourtant ce qu’a choisi de faire Laure*, dont le cancer a été diagnostiqué en pleine procédure il y a dix ans : « Les premiers entretiens ont été difficiles, je portais une perruque, j’étais très maquillée. Si on m’avait posé la question, je n’aurais pas menti, mais elle n’est jamais venue. Pour moi, il ne faisait aucun doute que ce cancer, pris très tôt, était une parenthèse. » Laure a vaincu la maladie, obtenu l’agrément et réussi à adopter deux ans plus tard une petite fille originaire de Russie. Toutefois, Odile Baubin, qui a longtemps travaillé comme médecin référent pour le département du Val-d’Oise, déconseille de mentir, même par omission. « Il y a un suivi,  il faut actualiser régulièrement son dossier. Si on découvre que vous avez caché ce genre de chose, la confiance est rompue. » Selon elle, il vaut mieux avoir tourné la page du cancer avant de se lancer : « On peut penser : ça va m’aider à me battre, sauf que l’enfant n’est pas là pour ça. Il n’est pas non plus la “réparation” d’une situation qui peut être vécue comme une injustice. » Cela ne veut pas dire renoncer, mais s’accorder un temps de réflexion pour affiner son projet. « Nous avons tous des casseroles dans notre histoire, le but n’est pas de les cacher, mais de montrer comment elles nous ont permis d’avancer. Analyser comment on s’est découvert des qualités insoupçonnées pour faire face à la maladie, cela peut donner des clés pour aider un enfant qui a connu l’épreuve de l’abandon », assure-t-elle.

Quand être patiente prend tout son sens

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Marion Fayolle

L’agrément n’est qu’une première étape, une sorte de « permis d’adopter », sans garantie de résultat. Une fois celui-ci en poche, il faut poser sa candidature. Là, le plus dur reste à faire : convaincre que vous êtes le meilleur foyer pour un enfant en recherche de parents. Durant l’instruction, les postulants sont amenés à préciser leur projet : l’enfant souhaité est-il un tout-petit ? Est-il envisageable d’adopter un enfant plus grand ? Une fratrie ? En France ou à l’étranger ? Pour l’international, les démarches individuelles – effectuées directement pour le pays d’origine – ont fortement diminué (une centaine d’adoptions par an environ). Plus de 100 pays ont signé la convention de La Haye réglementant l’adoption internationale. Elle oblige à passer par un intermédiaire : soit l’Agence française de l’adoption (AFA), institution publique créée en 2005, soit l’un des 34 organismes agréés pour l’adoption (OAA), des opérateurs privés, souvent associatifs, qui travaillent avec certains pays en particulier. En qualité de service public, l’AFA accepte tous les dossiers sans distinction. Problème : la plupart des pays partenaires émettent, eux, des critères restrictifs, notamment en matière de santé. C’est le cas des principaux pays d’où sont venus les enfants adoptés ces dernières années : Haïti, Colombie, Vietnam, Thaïlande, Chine, Bulgarie… Niveau d’éducation, ressources, âge, voire confession ou préférence sexuelle, ces critères de choix s’affichent noir sur blanc sur les « fiches pays », consultables sur le site de l’agence. La brochure de présentation de la Colombie, premier partenaire de l’AFA, mentionne ainsi comme restriction « un cancer quand les résultats biostatistiques disponibles permettent de déterminer, raisonnablement, une espérance de vie réduite ». Une pratique discriminatoire ? « Nous travaillons en partenariat avec des pays étrangers, nous sommes tenus de leur envoyer des dossiers qui correspondent parfaitement à leur demande. Le risque de ne pas répondre à leurs propres critères est d’envoyer un dossier qui n’aboutira jamais, et éventuellement d’entraîner le blocage des dossiers des autres candidats », justifie Chantal Cransac, chargée de communication à l’AFA. Le cancer n’est pas le seul motif de blocage. La Chine, par exemple, refuse toutes les maladies chroniques et même l’obésité : il ne faut pas avoir un indice de masse corporelle supérieur à 40 ! « Nous ne sommes pas maîtres de ces critères de choix, se défend l’AFA. Nous essayons de les affiner au maximum et d’informer les candidats le plus clairement possible, pour ne pas leur laisser de faux espoirs. »

Si l’adoption internationale après un cancer est très difficile, elle n’est pas totalement impossible. Camille, dont le dossier ne faisait pas mention explicite de sa maladie, a pu faire accepter sa candidature par un pays autorisant l’adoption par des célibataires. Elle a dû fournir – entre autres documents – quatre pages de sérologie, mais on ne lui a pas demandé de marqueurs. Ses résultats étant normaux, sa demande est en bonne voie.

Marie, de son côté, s’est vu conseiller de tenter plutôt l’adoption nationale, pour laquelle il n’existe pas de critères officiels de sélection. Les pupilles de l’État sont confiés dans chaque département au préfet, assisté par un conseil de famille composé de représentants du conseil départemental, de membres d’association, d’assistants familiaux, de familles adoptives, d’anciens pupilles et de personnalités qualifiées en matière de protection de l’enfance. Lorsqu’un projet d’adoption est validé, c’est cette instance qui détermine, parmi les dossiers présentés par l’Aide sociale à l’enfance, la famille agréée qui lui semble le mieux correspondre aux besoins de l’enfant. Le meilleur atout de Marie et de son mari ? Leur âge : 37 ans. « Je n’avais que 33 ans quand mon cancer a été détecté, et le traitement n’a duré qu’un an. On nous a dit qu’on était assez jeunes pour postuler pour un bébé de 0 à 3 ans en bonne santé », confie la jeune femme. La majorité des candidats, passés par un long parcours d’essais infructueux pour avoir un enfant biologique, a plus de 40 ans. Ce n’est écrit nulle part, mais dans les faits, « en France, à partir de 40 ans, on ne peut plus adopter un bébé », affirme de son côté Karine, 46 ans. En 2014, elle et son mari avaient obtenu l’agrément pour un enfant de 0 à 3 ans : « On s’est dit : “chouette” ! Puis ç’a été la douche froide. Pendant quatre ans, il ne s’est rien passé. » Au début de 2018, le couple réussit à élargir sa demande pour un enfant plus grand, jusqu’à 5 ans. Mais, en août, Karine fait face à une récidive du cancer pratiquement au moment où leur agrément arrivait à échéance. Il fallait tout recommencer… ils ont renoncé.

Se poser les bonnes questions avant

Bien réfléchir à son projet en fonction de son âge, de sa situation, est essentiel. Séparée de son mari après un cancer du sein il y a six ans, déjà maman de deux enfants, Véronique* a rencontré quelqu’un. « La question d’un enfant a fini par se poser. Je ne pouvais pas arrêter mon traitement sans risquer la récidive, mon médecin m’a même conseillé l’ablation des trompes. Nous nous sommes inscrits à une session d’information sur l’adoption. On nous a expliqué que le délai moyen d’attente était de cinq à sept ans, et que certains ne parvenaient jamais à adopter. Nous en avons vite déduit que nos chances étaient maigres », raconte-t-elle. Déjà mère et âgée de 39 ans, elle comprend qu’elle ne se verra jamais confier un bébé en bonne santé. « Mon conjoint souffre aussi d’une pathologie chronique, nous avons deux dossiers médicaux assez lourds », précise-t-elle. Ils décident d’ouvrir leur demande aux enfants dits à besoins spécifiques. En France, la moitié des pupilles de l’état sont des enfants plus âgés, en fratrie, ou souffrant de problèmes de santé plus ou moins graves. Tous ne sont pas adoptables, mais ceux qui le sont ont du mal à trouver des parents adoptifs. « Il faut se préparer à répondre à des questions précises : quel type de handicap vous acceptez ? La déficience intellectuelle ? Le handicap physique ? Sensoriel ? Les maladies incurables ? Pour avoir fait l’expérience de la maternité, ce ne sont pas des questions que vous vous posez enceinte », indique Véronique. Avant de se lancer, elle et son mari ont longuement réfléchi : accueillir un enfant à particularité ne doit pas être un choix par dépit. Il faut s’en sentir capable, aussi bien physiquement que psychologiquement. « J’ai eu un curage axillaire, j’ai dû expliquer que j’avais des restrictions à l’usage de mon bras droit. L’assistante sociale m’a demandé comment j’allais porter mon enfant. Il y a des conséquences du cancer auxquelles on ne pense pas forcément. »

« Un projet d’adoption nécessite de se demander à quel enfant on rêve et quelles sont ses limites. Ce temps d’introspection est guidé par le travail des services, nos antennes locales accompagnent aussi les familles dans leur réflexion », souligne le Dr Odile Baubin, qui insiste par ailleurs : « Un enfant adopté, c’est différent d’un enfant biologique : c’est un enfant déjà fragilisé par son abandon, et qu’il faut essayer de préserver. » La peur de perdre un de ses parents peut être un frein à son épanouissement. Il a besoin autour de lui d’adultes solides psychologiquement. Adopter après un cancer conduit donc aussi à envisager une éventuelle récidive, ou pire. « Je ne pouvais pas mener ce projet toute seule, j’ai demandé à ma sœur et à mon beau-frère s’ils accepteraient d’être tuteurs de mon futur enfant », confie Camille, qui a décidé d’adopter en solo et est toujours en attente d’une proposition d’enfant, deux ans après l’acceptation de son dossier par un pays partenaire de l’AFA. Véronique et son mari, de leur côté, ont obtenu l’agrément pour un enfant jusqu’à 5 ans, avec besoins spécifiques. Ils ont envoyé leur candidature dans tous les départements. Pour tromper leur (longue) attente, Marie et son conjoint participent à un groupe de réflexion sur l’adoption. « J’ai l’impression d’avoir quitté le tunnel du cancer pour le chemin de croix de l’adoption, avoue-t-elle. Notre histoire pourrait se résumer ainsi : ils se marièrent et eurent un cancer, mais ne se laissèrent pas faire ! » 

* Les prénoms ont été modifiés.

Plus d’infos

En France peuvent adopter toute personne âgée de plus de 28 ans (célibataire, en couple, ou mariée) et les époux mariés depuis plus de deux ans ou âgés tous les deux de plus de 28 ans. Il faut faire une demande d’agrément auprès du conseil départemental de son lieu de résidence.
Celui-ci a neuf mois pour instruire la demande. Tout refus doit être motivé et peut faire l’objet d’un recours.

Illustration Marion Fayolle

Retrouvez cet article dans Rose Magazine (Numéro 18, p. 80)


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Karine Hendriks

Journaliste

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