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Cicatrice du PAC : je t’aime moi non plus

{{ config.mag.article.published }} 11 juin 2021

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TÉMOIGNAGES. Trois lectrices témoignent de leur rapport à la cicatrice laissée par le retrait de leur port-à-cath. Entre acceptation, dissimulation et rejet.

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« J’ai 2 cicatrices mais je n’y prête plus attention », Nathalie, 46 ans

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« Lorsqu’on m’a administré la première cure de chimiothérapie au travers du PAC, j’ai ressenti des fourmillements dans le bras. Mais le médecin ne s’inquiétait pas plus que ça.

Pour la deuxième cure, impossible de faire passer le produit : le PAC avait bougé et je commençais à faire une thrombose. Résultat : une première opération pour retirer mon premier PAC et une seconde pour placer un nouveau PAC de l’autre côté. A la fin de mes traitements, j’ai beaucoup insisté pour l’enlever, contre l’avis de mon oncologue qui souhaitait que je le garde en cas de récidive. Maintenant je vis avec deux cicatrices, mais je suis tellement contente de ne plus avoir cet objet dans mon corps que je n’y prête pas beaucoup attention. Peut-être qu’un jour je les cacherai avec des tatouages. De toute façon, elles ne partiront jamais. »

 

« Pendant longtemps, j’ai été en colère contre elle », Laurence, 51 ans

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« Je n’aime pas du tout la cicatrice du PAC. J’ai même plus de mal à la regarder que celle que j’ai sur le sein. Ma cicatrice est un peu grossière parce que le chirurgien a eu du mal à placer le port-à-cath et il a un peu forcé sur les chairs. Le PAC était donc un peu trop bas, il me faisait mal. 

La première chose que j’ai demandée  à mon oncologue à la fin de mes traitements, c’est de me l’enlever. C’était un 23 décembre, un vrai cadeau de Noël. Mais cette cicatrice est toujours douloureuse, physiquement et mentalement. Pendant longtemps, j’ai été en colère contre elle. Désormais, j’essaie d’oublier qu’elle est là et je me force à penser qu’elle fait partie de mon histoire. J’y arrive de plus en plus, mais ce n’est pas simple. Dernièrement, ma kinésithérapeute m’a conseillé de masser la cicatrice avec une pommade, je n’ai même pas réussi à le faire. »

 

« J’ai recouvert ce souvenir d’un corps étranger avec un tatouage », Aurore, 36 ans

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« Les premières semaines après la pose de mon PAC, ça me perturbait énormément de le toucher. Quand on me l’a enlevé à la fin de ma chimiothérapie, parce que j’avais des risques d’embolie pulmonaire, j’étais soulagée de ne plus le sentir sous ma peau.

Mais il restait cette cicatrice. Ce souvenir d’un “corps étranger”. Un stigmate du cancer du sein. Et moi, j’avais besoin de passer à autre chose, de tourner la page. Alors je l’ai recouverte avec un tatouage. Le dessin que j’ai choisi représente une bergeronnette. Ce petit oiseau est très présent autour de la maison que nous avons achetée avec mon mari pendant ma première chimio. Ce lieu nous a apporté beaucoup de bonheur et de réconfort. J’ai retranscrit ce bonheur sur ma cicatrice. »

 


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Paul Thorineau

Journaliste

PsychoConseils

La minute psy – Comment gérer l’attente des résultats ?

Quand on est diagnostiqué d'un cancer, les périodes d'attente de résultats sont récurrentes et parfois difficiles à gérer. Stress, anxiété, peur, angoisse.... les émotions négatives prennent parfois le dessus. Dans cette vidéo, Léonor Fasse, psychologue à Gustave Roussy, donne des conseils pour les apprivoiser.

19 mai 2025

L'après cancer {{ config.podcast.label }}

Osons la vie – Justine accepte de tourner la page du cancer

Diagnostiquée d’un cancer du sein en 2020, alors qu’elle était enceinte, Justine a subi de lourds traitements tout en menant sa grossesse à terme. Un parcours éprouvant qui l’a changé, et qui dure encore 4 ans après. Car elle est encore sous hormonothérapie et sous surveillance rapprochée. Si elle est de nature optimiste, “tourner la page du cancer” reste difficile pour elle.

Facteurs de risque et prévention {{ config.podcast.label }}

Osons la vie – Céline accepte d’hériter d’un cancer

En 2022, Céline est diagnostiquée d’un cancer du sein. Il y a déjà eu des cas de cancers dans sa famille. On lui propose donc de faire un test génétique. Les résultats révèlent qu’elle est porteuse d’une mutation héréditaire qui la prédispose à certains cancers. Une annonce qui a des répercussions, non seulement sur elle, mais aussi sur toute sa famille.

Reconstruction mammaireTémoignages

Ma reconstruction à plat – « C’est une libération »

TÉMOIGNAGE. Le cancer conduit parfois à l’ablation d’un ou des deux seins. Et après ? Après la mastectomie totale de son sein gauche, en 2017, Aurore a souhaité qu’on lui retire aussi son sein sain afin d’avoir un buste parfaitement plat. Elle préfère dire “aérodynamique“...

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Mobiliser son corpsAtelier

Avirose, l’aviron adapté après un cancer du sein

4 juin 2025 • 10h00 - 11h00

L'Avirose, de l'aviron que l'on pratique sur des rameurs, a été spécialement conçu par Jocelyne Rolland, kinésithérapeute, pour remobiliser ses muscles après une opération du sein, du creux de l'aisselle, ou une reconstruction mammaire. Particulièrement complet, il permet de renforcer les bras, les jambes mais aussi le tronc, sans risque. Cet atelier est animé par Juliette Moreau, kinésithérapeute et professionnelle de la Fédération Française d'Aviron.

Mobiliser son corpsAtelier

Avirose, l’aviron adapté après un cancer du sein

11 juin 2025 • 10h00 - 11h00

L'Avirose, de l'aviron que l'on pratique sur des rameurs, a été spécialement conçu par Jocelyne Rolland, kinésithérapeute, pour remobiliser ses muscles après une opération du sein, du creux de l'aisselle, ou une reconstruction mammaire. Particulièrement complet, il permet de renforcer les bras, les jambes mais aussi le tronc, sans risque. Cet atelier est animé par Juliette Moreau, kinésithérapeute et professionnelle de la Fédération Française d'Aviron.

KinéConférence

Webinaire : les bienfaits du sport adapté expliqués par un kiné

12 juin 2025 • 11h00 - 12h00

On le dit souvent : maintenir une activité physique pendant et après un cancer est primordial. Mais savez-vous pourquoi ? Renforcement musculaire, amélioration de l'équilibre, diminution de la sensation de fatigue, amélioration de l'état émotionnel...

Angoisse et stressTemps d'échange

Cancer métastatique -Temps d’échange avec une psychologue – Les Vacances

16 juin 2025 • 10h00 - 11h30

Thème du jour : Réinvestir sa vie au quotidien Nous vous invitons à partager sur la thématique du jour, en petit groupe, au cours d'un temps d'échange encadré par Hélène de La Ménardière, psychologue. Cet atelier est réservé aux femmes touchées par un cancer métastatique dans le cadre du programme Mon nouveau parcours. Ce dernier est constitué d'ateliers de soins de support autour de 3 thématiques : l'activité physique adaptée (2 fois par semaine, le lundi et le mercredi), la nutrition (1 fois par mois le lundi), et la rencontre d'Hélène de la Ménardière (1 fois par mois le lundi). Si vous n'êtes jamais venue à la Maison RoseUp Paris, merci de prendre rendez-vous pour effectuer votre entretien de première rencontre auprès de notre équipe avant toute inscription à un atelier. Nous vous invitons à partager sur la thématique du jour, en petit groupe, au cours d'un temps d'échange encadré par Hélène de La Ménardière, psychologue. Cet atelier est réservé aux femmes touchées par un cancer métastatique dans le cadre du programme Mon nouveau parcours. Ce dernier est constitué d'ateliers de soins de support autour de 3 thématiques : l'activité physique adaptée (2 fois par semaine, le lundi et le mercredi), la nutrition (1 fois par mois le lundi), et la rencontre d'Hélène de la Ménardière (1 fois par mois le lundi). Si vous n'êtes jamais venue à la Maison RoseUp Paris, merci de prendre rendez-vous pour effectuer votre entretien de première rencontre auprès de notre équipe avant toute inscription à un atelier."