Face aux cancers, osons la vie !



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Dérives sectaires en santé : Gare aux gourous !

{{ config.mag.article.published }} 7 novembre 2022

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Illustration de Jérôme Meyer-Bisch

Pour supporter les traitements, aller mieux et guérir, la tentation est grande de se tourner vers les thérapies parallèles. Mais, attention : terrain miné ! Des charlatans sont là, prêts à profiter de la situation. Nos clés pour ne pas tomber dans leurs pièges.

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Essayer de rendre plus supportables le cancer et les effets secondaires des traitements est légitime. C’est le rôle des soins de support. Conseil d’un nutritionniste ou d’un diététicien, traitement de la douleur, accompagnement psychologique, activité physique, ateliers socio-esthétiques… ils doivent être proposés par les équipes soignantes, à toutes les étapes du parcours. « En France, le panier de soins de soutien validés – parce que répondant aux exigences scientifiques – est clair », indique le Dr Antoine Lemaire, spécialiste de la douleur et chef du pôle de cancérologie à l’hôpital de Valenciennes. « Il se limite à 4 soins de support majeurs et 7 pratiques complémentaires, dont l’homéopathie par exemple ne fait pas partie. »

Malgré ce cadre, force est de constater qu’on a tendance à ajouter à ce panier un peu tout et n’importe quoi. Notamment avec l’émergence de nouveaux concepts de thérapies dites alternatives, vers lesquelles les Français sont de plus en plus nombreux à se tourner, espérant trouver des solutions pour augmenter leurs chances de prévenir ou de mieux vivre avec la maladie. Voire de la guérir. C’est encore plus vrai de ceux qui sont touchés par le cancer.

Selon les chiffres publiés par la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), en 2010 4 Français sur 10 avaient recours à des pratiques thérapeutiques non conventionnelles, et parmi eux 60 % étaient en cancérologie. Cette même année, elle dénombrait dans le pays plus de 400 « pratiques non conventionnelles à visée thérapeutique », allant du Reiki au néo-chamanisme, en passant par la kinésiologie, la naturopathie, le biomagnétisme… Combien sont-elles aujourd’hui ? Impossible d’en dresser une liste exhaustive, note Samir Khalfaoui, conseiller santé de la Miviludes. Mais une chose est sûre : c’est un univers en pleine expansion.

New age et confinement

Le Covid-19 est passé par là. Entre sidération et confinement derrière nos ordinateurs, atermoiements des politiques, angoisse devant l’absence de remède et incertitudes médicales face au virus, la crise sanitaire a donné une formidable chambre d’écho à toutes sortes de pratiques plus ou moins ésotériques, supposées soigner à coups de plantes, de jus, de lithothérapie – devenue très tendance –, d’énergie « quantique », ou encore par la « recherche de son enfant intérieur ».

« On assiste à une recrudescence de propositions trompeuses, et dangereuses, qui peuvent séduire des personnes fragilisées », alerte la Miviludes dans son dernier rapport, paru en juillet 2021. Sur 3 000 à 4 000 demandes de renseignement ou signalements qu’elle a reçus entre 2019 et 2020, 38 % touchent la santé. « Il ne faut pas voir des gourous partout, convient Samir Khalfaoui. Mais la maladie – le cancer en particulier – est une porte d’entrée rêvée pour les charlatans. Ils savent que le poids émotionnel du cancer est important. Cela rend les personnes qui en souffrent particulièrement à risque. »

Le numérique a amplifié le phénomène sectaire et les risques d’emprise, observe encore la Miviludes. Même Doctolib, qui se présente comme une plateforme de prise de rendez-vous avec des professionnels de santé (qui sont obligés d’obéir à une réglementation stricte et d’appartenir à un ordre professionnel), s’est fait épingler en août 2022. La raison ? On y trouvait des naturopathes se réclamant d’Irène Grosjean, des médiums et autres énergéticiens. Les gourous de la santé sont des pros du marketing digital, qu’ils utilisent pour diffuser leur offre et leurs idées.

Ils savent parfaitement jouer du mécanisme de référencement d’internet pour figurer en bonne place. Quand vous recherchez des informations liées à votre cancer, vos clics laissent des traces. Les algorithmes vous proposent ensuite, à chaque connexion, des contenus ou vidéos sur le même sujet, postés sur différentes plateformes, comme YouTube ou Odysee, « où l’on trouve… de tout ! » signale Romy Sauvayre, sociologue des sciences et des croyances à l’université Clermont-Auvergne et au CNRS. Certains discours capitalisent ainsi des milliers de vues, qui augmentent encore leur audience. « Tout n’est pas toujours visible d’emblée », poursuit la chercheuse.

Clamer lors de vidéoconférences que le cancer est une invention de la médecine et qu’on le soigne bien mieux sans elle passe plutôt par des messageries cryptées, comme Telegram. Le ramdam en provenance des réseaux sociaux et/ou des proches fait ensuite le reste. « Un patient convaincu d’avoir trouvé le Graal en parle forcément autour de lui. Il se transforme en prosélyte volontaire, disséminant la bonne parole à ses connaissances ou sur les réseaux », analyse Romy Sauvayre. Le bouche-à-oreille, explique-t-elle, est un mécanisme d’adhésion redoutable. « Il y a plus de chances que vous croyiez un proche vous rapportant connaître quelqu’un pour qui le traitement d’un thérapeute “exceptionnel” se serait révélé efficace. » Sauf qu’un témoignage – ou même plusieurs – n’est pas une preuve scientifique d’efficacité. Jamais.

Pour ne pas tomber dans les pièges de ces escrocs de la santé, méfiez-vous de certains termes, formules ou arguments. Quand vous les entendez ou les lisez, ils doivent immédiatement faire tilt dans votre esprit ! Pour vous aider à les repérer et à les disqualifier, on vous en annonce la couleur.

Thérapie naturelle / traditionnelle / ancestrale : CARTON JAUNE

Nature, voilà un mot vendeur pour les soins non conventionnels. Et les plantes constituent une porte d’entrée fréquente vers « une nébuleuse de thérapies tournant autour du postulat global que tout ce qui est naturel est bon ; et tout le reste, dangereux », analyse le Dr Bruno Falissard, psychiatre et directeur du centre de recherche en épidémiologie et santé des populations à l’Inserm. Le problème, prévient le chercheur, c’est que ce postulat est faux. Et néfaste : « sous le couvert de la nature, on décrédibilise la médecine », et, insidieusement, on tend à vous éloigner de votre traitement. Il est vrai que la plupart des médicaments ne sont pas « naturels », puisque produits en laboratoire, « mais certaines chimiothérapies [vincristine, taxotère, ndlr] sont issues de plantes », rappelle le Dr Bruno Falissard.

Sachez que les compléments à base de plantes que l’on peut vous suggérer par ailleurs sont tout aussi industriels que les autres, et qu’en avaler en parallèle de son traitement anticancéreux n’est pas toujours anodin, insiste le Dr Jean-Baptiste Méric, oncologue et directeur du pôle santé publique de l’INCa. Certains, tels que ceux à base de millepertuis ou de pamplemousse, risquent d’interférer avec votre traitement. Des thérapeutes, néo-chamans en tête, affirment puiser leur approche holistique et leurs recettes dans des pratiques ancestrales venues de tribus et de pays lointains.

« Ancestral est devenu synonyme de prouvé », relève la sociologue Romy Sauvayre. Or son ancienneté ne prouve ni le sérieux de la thérapie proposée, ni son efficacité, insiste Pascale Duval : « Si le traitement prétendument millénaire était si efficace, il ne devrait même plus y avoir de malades aujourd’hui ! »

Théories simplistes et pseudoscience : CARTON ROUGE

La naturopathie, pourquoi pas ? Mais attention aux « praticiens » qui déroulent des explications simplistes. Par exemple : les tenants de la tendance hygiéniste et crudivore, dont Christian Tal Schaller, un ancien médecin devenu chantre de l’urinothérapie (ou amaroli). Selon eux, si vous êtes malade, c’est que votre corps est « intoxiqué » – et le cancer n’est que le signal qu’il vous en donne. Mais il possède une capacité « inimaginable » de se ressourcer et de guérir, donc rien n’est incurable ! À condition de bien suivre certains préceptes qui offriront un « reset » magique à votre organisme : jeûner, avaler des jus ou… boire votre propre urine. Et, si les malades ne guérissent pas, c’est qu’ils ne l’ont pas vraiment voulu.

Pour rendre plausible ce genre de théorie, les gourous de la santé « s’appuient toujours sur des bribes d’études ou un bout de vérité qui va dans leur sens », souligne la sociologue Romy Sauvayre. Oui, l’alimentation est importante, « mais comprendre ses mécanismes est complexe », rappelle le Dr Raynard, nutritionniste à Gustave-Roussy. Dans le cas du cancer, le problème essentiel est justement de lutter contre les carences et la dénutrition, voilà pourquoi il est recommandé de suivre un régime varié et équilibré. Ne vous laissez pas abuser par des discours et des termes pseudoscientifiques « faits pour faire sérieux, rassurer », prévient Samir Khalfaoui.

Tal Schaller est ainsi capable d’affirmer que des malades du VIH ont été guéris en 2 jours après avoir bu leur urine : grâce à « l’énergie du sang filtré qu’est l’urine, qui vibre sur une longueur d’onde de vitalité énorme ». Aucune étude scientifique n’a jamais validé ce « remède ancestral » venu d’Inde ? C’est parce que l’industrie pharmaceutique s’y est opposée, pardi ! « Le propre du gourou, rappelle Samir Khalfaoui, est d’avoir réponse à tout. » Quitte à se présenter (en bon complotiste) comme une victime du « système ».

EN CHIFFRES

40% des français avaient recours à des thérapies non conventionnelles en 2010, et 60% d’entre eux étaient en cancérologie
Source : Miviludes

« Le pouvoir de guérir est en vous » : CARTON ROUGE

Au « pourquoi moi ? » qui taraude tant de malades à l’annonce d’un cancer, certains pseudo-thérapeutes n’hésitent pas à avancer des explications extrêmement culpabilisantes pour vendre leurs thérapies. « Le pire dans ce registre, ce sont toutes les approches psychologisantes, du type décodage biologique, dérivées de la “biologie totale des êtres vivants”, qui prétend identifier l’élément déclencheur de maladies comme le cancer », estime le Dr Bruno Falissard.

Leur chantre ? Geerd Hamer. Fondateur d’une « médecine nouvelle germanique », il a théorisé ses idées après avoir fait le rapprochement entre la mort de son fils, en 1978, et la survenue du cancer qui l’a touché un an plus tard. Selon lui, toute maladie serait forcément causée par un choc psychologique intense ou un conflit intérieur non résolu. Pour guérir ? Il suffit de résoudre ses problèmes, sans laisser les traitements conventionnels interférer avec le processus d’« autoguérison ». Aucune étude scientifique méthodologiquement irréprochable n’a jamais prouvé qu’un stress donne le cancer, martèle le Dr Jean-Baptiste Méric : « La vérité du cancer, c’est qu’il est toujours multifactoriel et qu’on ne peut l’expliquer par une seule cause. » Croire dur comme fer au contraire peut être mortel.

Geerd Hamer a été condamné 2 fois à la prison ferme pour exercice illégal de la médecine. Une fois en France, et précédemment en Allemagne. C’était en 2004, après la plainte d’une femme dont le mari était décédé de son cancer. Ce dernier avait refusé ses traitements pour se conformer aux théories de Hamer. Réfugié en Norvège, le gourou avait continué à diffuser ses théories sur le Net. Six ans après sa mort, elles essaiment encore.

Parmi ses émules, l’Unadfi (l’Union nationale des associations de défense des familles et de l’individu victimes de sectes) surveille de près une ancienne phlébologue québécoise, Guilaine Lanctot, auteure d’un livre paru en 1994 fustigeant les vaccins et « la mafia médicale contre la santé parfaite ». Radiée de la profession pour complotisme en 1997, elle professe aussi que le cancer du sein n’est qu’une « maladie de la pensée », et « que c’est la plus grande chance de votre vie, puisque c’est l’occasion de faire le ménage dans votre cerveau », s’étrangle Pascale Duval, porte-parole de l’Unadfi : « Ça me donne envie de vomir ! » « Dès qu’un thérapeute va sur le champ de la psychothérapie pour vous expliquer votre cancer, ou s’il essaie de faire un lien avec votre enfance, partez ! Même chose s’il évoque la “mémoire cellulaire” pour vous expliquer l’inexplicable », résume Samir Khalfaoui.

Médecine « alternative » : CARTON JAUNE

Méfiez-vous du terme alternative, souvent mis en avant par ceux qui proposent des thérapies non conventionnelles. Alternative suppose un choix. Or, pour soigner un cancer, il n’y en a pas. En cancérologie, rappelle l’Association française des soins oncologiques de support (Afsos), les pratiques non conventionnelles ne peuvent se concevoir qu’en complément des traitements spécifiques du cancer (chirurgie, radiothérapie, chimiothérapie) : jamais à leur place ! Seuls ces traitements ont prouvé leur efficacité, au terme d’études cliniques comparatives scientifiquement rigoureuses.

Bien évidemment, tous les thérapeutes non conventionnels ne sont pas des charlatans. Il y a ceux qui connaissent leurs limites, souligne le Dr Bruno Falissard : « Ce sont ceux qui vous disent : “Faites confiance à votre médecin, moi je vous accompagnerai en parallèle, sans que mes résultats soient garantis.” Ça, c’est honnête, et vous êtes libre. » À condition, bien sûr, que ce qu’ils proposent n’interfère pas avec vos traitements. En revanche, carton rouge immédiat au soi-disant thérapeute qui critique les professionnels de santé. « Partez en courant dès qu’on vous suggère que votre traitement médical n’est pas adapté », supplie Pascale Duval. Idem « si l’on sous-entend que c’est la médecine et non votre cancer qui vous rend malade », renchérit Bruno Falissard.

Dans ce registre, méfiance absolue envers toutes les branches et sous-branches de naturopathie qui se réclament d’Irène Grosjean et accusent en vrac vaccins et industrie pharmaceutique de tous les maux. À 92 ans, celle qui se présente comme naturopathe depuis 60 ans, et qui va jusqu’à préconiser des attouchements sexuels sur les enfants pour faire tomber leur fièvre, jouit d’une grande influence dans la sphère du bien-être. Elle a fait des émules, comme Thierry Casasnovas. Cet ex-boulanger devenu naturopathe est aujourd’hui sous le coup d’une information judiciaire, mais son audience sur YouTube et les réseaux sociaux a décollé pendant l’épidémie de Covid-19. Sa « doctrine » prétend qu’on peut guérir de tout, y compris du cancer, sans médicaments, en ne mangeant que des fruits et légumes crus ou en jeûnant.

Attention aussi au discours de Miguel Barthelery, condamné pour exercice illégal de la médecine en octobre 2021, à la suite du décès de 2 de ses « patients » : un homme de 41 ans qui souffrait d’un cancer des testicules, et une femme à qui l’on avait diagnostiqué un cancer du col de l’utérus. Ils avaient cessé leur chimiothérapie pour suivre un protocole de jeûne et de purges préconisé par ce gourou, qui continue toujours d’officier dans des stages de naturopathie.

Soyons clairs : rien ne vous empêche de tester d’autres soins, mais « ne mettez jamais fin à votre traitement, et parlez-en aux équipes soignantes ou à votre médecin, même si celui-ci vous paraît froid et mécanique », martèlent tous nos experts.

Panacée et remède miracle : CARTON ROUGE

Un verre d’eau de javel, pour aller mieux, ça vous dirait ? A priori, non. C’est pourtant ce que propose la MMS (Miracle Mineral Supplement), la « solution minérale miracle ». Depuis 2010, la FDA (Federal Drug Administration), aux États-Unis, et les scientifiques mettent en garde contre ce supposé traitement.

De quoi s’agit-il ? D’une solution concentrée de chlorite de sodium à mélanger avec de l’acide citrique, ou du jus de citron, pour produire… du dioxyde de chlore. Vendue sur internet à grand renfort de guides, vidéos et avis de clients dithyrambiques, elle est censée guérir de tout : autisme, paludisme, cancer et plus récemment Covid-19. Aucune étude ne l’a jamais démontré. En revanche, on a les preuves des intoxications liées à ce produit hyperirritant.

Face à un cancer, « le remède miracle n’existe pas ! » insiste le Dr Méric. Ni la MMS ni le corossol (un fruit exotique), ni le curcuma ni la cure Gerson, à base de jus de fruits et de lavements au café, ne vous guériront. Dans le lot de tous les thérapeutes rencontrés, « il y en a sans doute qui sont intimement persuadés de pouvoir soigner », remarque Romy Sauvayre. Seulement, tous ne sont pas de purs philanthropes. Outre leurs consultations, ils vivent aussi – et parfois très bien – de la vente de leurs livres et de l’animation de stages.

Certains sont aussi intéressés aux bénéfices des ventes des produits dont ils parlent ou qu’ils conseillent. Évidemment, ils ne les commercialisent pas directement, mais ils vous dirigent vers des sites marchands. Et, pour ça, ils sont susceptibles de toucher une commission, 100 euros par-ci, plusieurs centaines par-là… La grande force de ces individus, insiste Bruno Falissard, « c’est qu’ils sont à l’écoute de votre spiritualité et des questions auxquelles l’équipe médicale ne vous a pas apporté de réponse. Mais si vous sentez qu’on en veut à votre argent : carton rouge ! Vous n’êtes plus un patient, mais un client… »

Illustrations de Jérôme Meyer – Bisch

Retrouvez cet article dans Rose Magazine (Numéro 23, p. 72)


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