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Effets secondaires du cancer : la transe aide-t-elle à mieux les vivre ?

{{ config.mag.article.published }} 3 juin 2024

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Illustration : Bénédicte Muller

En Belgique, une équipe de chercheurs mène une étude inédite sur les techniques menant à un état modifié de conscience, dont la transe auto-induite. Objectif : évaluer scientifiquement son impact sur certains effets secondaires du cancer. Entre 2022 et 2023, 40 patients sortis de traitement y ont participé... Parmi eux, des Françaises.

Juin 2023. Dans une petite salle plongée dans la pénombre du CHU de Liège, en Belgique, une femme est assise sur un fauteuil. Elle est française, elle s’appelle Christine. Elle a 48 ans.

La tête prise dans un casque constellé d’électrodes reliées à un ordinateur, elle effectue de grandes respirations. Son nez frémit, elle renifle. Des vocalisations s’élèvent : « héhoha… héhoha… héhoha… ».

Ses poings se serrent, ses bras se lèvent, son corps se tend sur le siège. Puis, soudain, elle émet un cri fort, puissant, résonnant dans toute la pièce, qui ressemble à celui d’un loup…

« J’étais un loup, je courais dans la steppe. J’ai ressenti un sentiment de liberté et de joie très intense, presque une extase. »

Trente secondes plus tard, son souffle reprend un rythme normal. Elle s’apaise, ses bras retombent sur les accoudoirs. Elle ne bouge pas, elle sait qu’une fois qu’elle a réussi à auto-induire une transe la consigne est de rester le plus immobile et silencieuse possible afin de ne pas parasiter l’électroencéphalogramme (EEG) qui enregistre l’activité de son cerveau.

Quelques minutes passent, et Christine recommence à vocaliser, à renifler et à lever les bras afin de relancer sa transe. Puis elle se fige de nouveau, les mains en l’air, comme si elle tenait une balle.

« Un sentiment de liberté et de joie »

« Je vous laisse revenir tranquillement », souffle Nolwenn Marie, doctorante et chercheuse à l’université de Liège, au sein du groupe de recherche sur les sensations et perceptions (SPRG) au Giga-Consciousness (un laboratoire de pointe sur l’étude des états modifiés de conscience).

Carnet de notes en main, elle l’interroge ensuite : « Pouvez-vous me décrire en détail l’expérience que vous venez de vivre ? » « J’étais un loup, je courais dans la steppe. J’ai ressenti un sentiment de liberté et de joie très intense, presque une extase. Après, j’avais une boule dans les mains, le loup était en face de moi et on jouait ensemble, rapporte Christine. Puis j’étais un guerrier indien, je courais avec une meute de loups, en lien, ensemble. Enfin, le gorille est arrivé et, là, j’ai ressenti la liberté de la forêt. »

La doctorante lui pose encore quelques questions, puis commence à retirer le casque et les différents capteurs (de fréquence cardiaque, de respiration, de température et du mouvement des yeux). « Voilà, c’était la dernière évaluation, dit Nolwenn. Avec toute l’équipe, nous voulions vous remercier chaleureusement pour votre engagement. »

Une étude pionnière

Ainsi se clôture pour Christine une année de participation à une expérience scientifique unique au monde. C’est en effet la première fois que la transe cognitive auto-induite (TCAI), développée par la musicologue française Corine Sombrun (voir encadré), fait l’objet d’une étude clinique auprès de patients en oncologie.

Financée par deux institutions belges, la Fondation contre le cancer et le Fonds de la recherche scientifique (FRS-FNRS), son but est d’évaluer l’impact de la TCAI, mais aussi de la méditation d’autocompassion et de l’autohypnose, sur la qualité de vie de patients ayant terminé leurs traitements depuis moins d’un an.

CORINE SOMBRUN, DU CHAMANISME À LA SCIENCE

C’est lors d’un séjour en Mongolie, en 2001, que la musicologue Corine Sombrun entre en transe spontanément au son du tambour, lors d’une cérémonie.

Au cours des années suivantes, elle y retourne pour se former auprès de la chamane Enkhetuya. Convaincue que la transe n’est ni une psychopathologie ni une simulation, mais un potentiel cognitif présent en chacun de nous, elle met toute son énergie à « faire accepter la transe par la science comme un sujet sérieux ».

À ce jour, elle a déjà formé plus de 3 000 volontaires, dont 500 chercheurs et cliniciens, à sa méthode de transe cognitive auto-induite, en dehors de tout contexte rituel.

 

Le choix de l’oncologie

Au total, 160 personnes vont participer à cette étude. Chacun des états modifiés de conscience doit y être étudié sur un groupe de 40 participants, répartis en quatre sous-groupes de 10 personnes. Et, bien sûr, l’étude inclut un groupe témoin de 40 personnes non soumises aux trois techniques de modification étudiées.

« Avec cette étude, nous souhaitons explorer les similitudes et les différences entre la transe et d’autres états modifiés de conscience que l’on connaît mieux, et vérifier l’intérêt de cet outil comme application clinique en oncologie », détaille Audrey Vanhaudenhuyse, directrice du SPRG1. Elle co-dirige l’étude avec Olivia Gosseries, co-directrice du Coma science group au GIGA.

Le choix s’est porté sur l’oncologie notamment en raison des symptômes « intenses, fréquents et persistants qui subsistent chez les patients après la fin des traitements, parfois pendant plusieurs années », précise Charlotte Grégoire, qui supervise cette étude menée en collaboration avec l’institut de recherche TranceScience, à Paris.

Peu d’options pharmacologiques

L’équipe belge se focalise sur cinq symptômes en particulier: les douleurs, les difficultés de sommeil, la fatigue, l’anxiété et les difficultés cognitives.

« Ces symptômes sont sous-diagnostiqués, sous-évalués et pas suffisamment pris en charge alors même qu’ils ont un grand impact sur la vie des patients, sur leur famille, sur les soignants et sur la société de façon générale », regrette la chercheuse, postdoctorante et collaboratrice scientifique du FRS-FNRS.

La pharmacologie offre peu d’options pour les limiter. Les recherches se sont donc tournées vers les approches « mind-body » (yoga, taï-chi, relaxation, méditation, hypnose…), avec de premiers résultats encourageants, mais qui demandent à être confirmés.

Participez à une nouvelle étude

Vous avez eu un cancer du sein ? Un cancer digestif ? Vos traitements actifs (chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie) sont terminés depuis 5 ans maximum ? Vous êtes éligible pour participer à une nouvelle étude lancée par le SPRG1, le GIGA consciousness et le CHU de Liège (Belgique). Il s’agit de répondre à un simple questionnaire en ligne. Objectif : mieux comprendre les liens qui existent entre différents et fréquents effets secondaires (douleur, troubles du sommeil et cognitifs, détresse émotionnelle, fatigue), ainsi que leur évolution dans le temps. Pour y participer c’est ici :  tinyurl.com/pnsc3 !

Apprendre à  « transer »

Infirmière touchée par un cancer du sein, Christine s’intéresse depuis longtemps à ces pratiques « mind- body » (« corps-esprit »). Au printemps 2022, elle tombe sur l’appel à volontaires du Giga au hasard de ses pérégrinations sur les réseaux sociaux, et se renseigne aussitôt. « Il restait une place dans le dernier groupe “transe”, et c’est exactement ce que je voulais faire », se souvient cette passionnée de neurosciences.

En mai 2022, dix mois après avoir terminé sa radiothérapie, elle se rend donc à Liège, où elle retrouve les neuf autres participantes de son groupe pour le premier week-end d’initiation à la TCAI (qui sera suivi d’un second week-end quinze jours plus tard).

Illustration : Bénédicte Muller

Christine se souvient encore de sa surprise au tout début de cette formation, encadrée par Corine Sombrun et plusieurs facilitatrices. « Je pensais qu’on allait faire divers exercices pour se mettre en condition, mais on a juste fait un petit tour de présentations. Et, au bout d’un quart d’heure, Corine nous mettait en transe », s’amuse-t-elle.

Pour ce faire, la musicologue utilise des « boucles de sons » qu’elle a mis des années à développer, des sortes de concentrés de séquences de tambour qui déclenchent la transe dans 90 % des cas.

Pour Christine, la réaction fut immédiate: « Mon corps s’est mis à beaucoup bouger, j’ai hurlé, je suis partie dans un autre monde. À la deuxième transe, le cri du loup est arrivé, et il ne m’a plus quitté. »

« J’ai senti qu’il se passait quelque chose d’inhabituel »

D’autres membres du groupe ont réagi différemment. Julie, une Parisienne de 43 ans, s’est ainsi mise à pleurer. « Pendant les trois premières boucles de sons, je n’ai fait que pleurer, sans savoir si j’étais en transe ou pas. Puis, à la quatrième, j’ai commencé à produire des sons très longs et du “protolangage” [terme désignant un langage primitif, ndlr], mes épaules ont bougé de façon très saccadée, j’ai senti qu’il se passait quelque chose d’inhabituel que je ne maîtrisais pas », se souvient cette directrice juridique touchée par un cancer du sein triple négatif un an après avoir accouché de son second enfant.

L’arrivée du cancer, alors qu’elle était « encore en train d’allaiter, c’était ultra-violent », confie-t-elle avec émotion, des mèches aux reflets cuivrés encadrant son visage parsemé de taches de rousseur.

« J’avais extrêmement peur que le cancer ne revienne. Quand j’ai vu qu’il y avait cette étude clinique, j’ai immédiatement appelé. Je me disais qu’avec la transe j’aurais une perception amplifiée de mon corps et que je pourrais, peut-être, percevoir une récidive avant qu’il ne soit trop tard », raconte-t-elle, à l’issue de sa seconde et dernière transe sous EEG au CHU de Liège.

Une ressource essentielle

La première a eu lieu au même endroit, en juin 2022, juste après le deuxième week-end de formation. Puis, chaque participante était rentrée chez elle, avec la consigne de reprendre le cours normal de sa vie et de s’entraîner régulièrement afin de renforcer son apprentissage de la transe. Seule restriction : ne pas pratiquer de transe avec des personnes non formées à la TCAI.

Au long des douze mois écoulés, tous les membres du groupe ont fait l’objet d’un suivi à travers, entre autres, des questionnaires à remplir. Au départ, la TCAI n’a pas été facile à apprivoiser pour Julie: « Elle n’arrêtait pas de se manifester toute seule. C’était assez encombrant, d’autant plus que ça coïncidait avec ma reprise du travail. J’ai appelé les facilitatrices pour leur demander si c’était normal. Elles m’ont rassurée en me disant qu’il était habituel que la transe se manifeste beaucoup pendant une période aussi chargée émotionnellement. Elles m’ont dit que j’allais apprendre à mieux la gérer au fil du temps. »

C’est effectivement ce qui s’est passé, et la transe est devenue pour Julie une « ressource essentielle ». « Pour les “triple négatif”, il n’y a pas d’hormonothérapie. On est lâchées dans la nature. La transe me permet d’évacuer le stress, de me détendre, de voir les situations sous un autre angle, de prendre de la hauteur et de la distance », dit-elle.

Des effets subtils ou hallucinants

Chez Christine, la TCAI a eu un effet « extraordinaire » sur la rééducation de son bras droit, qu’elle ne pouvait plus monter plus haut que son épaule après une opération du sein. « Durant la transe, je faisais des mouvements spécifiques et j’ai très vite pu lever mon bras plus haut. La kiné, spécialisée dans ce type de rééducation, a halluciné », assure-t-elle.

Laure, membre du même groupe que Christine et Julie, a constaté que ses capacités cognitives s’amélioraient. « Après mon cancer du sein, j’avais beaucoup de mal à m’organiser, les choses me paraissaient insurmontables. La transe m’aide beaucoup à me poser et à être plus construite dans mes réflexions. Je ne sais pas si je retrouverai un jour toutes mes capacités d’attention, mais je suis contente de ce que j’ai réussi à récupérer », témoigne-t-elle.

Sororité

Contrairement aux autres, cette secrétaire de 45 ans ne connaissait pas Corine Sombrun avant d’intégrer l’étude, et elle n’a d’ailleurs toujours pas ouvert un de ses livres, ni vu le biopic Un monde plus grand, réalisé par Fabienne Berthaud, afin de préserver son expérience personnelle. Tout au long de cette année pas comme les autres, les participantes ont régulièrement échangé entre elles via WhatsApp, et certaines ont même parfois « transé » en visio.

« Nous avons toutes eu le même problème de santé, ce qui a créé un lien très fort entre nous », commente Laure. Nathalie2, également membre de ce groupe, renchérit : « Pour moi, ç’a été une double découverte : la découverte d’un continent intérieur avec la transe, et la découverte de cette énorme solidarité avec ces femmes. C’est très rare dans une vie d’avoir l’occasion de trouver un tel groupe de sororité. »

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Photo : Marie Genel

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Nathalie estime que, sans la transe et sans cette solidarité, il lui aurait été bien plus difficile de traverser tout ce qu’elle vivait au moment d’intégrer l’étude, en mai 2022. Opérée d’une tumeur rare et agressive, elle avait été brutalement licenciée au retour de son arrêt-maladie.

« Je me sens beaucoup mieux quand je l’intègre dans mon quotidien. J’essaie de la pratiquer quelques minutes le matin, après ma session de yoga. »

« J’avais du mal à me concentrer, j’oubliais tout, je n’arrivais presque plus à lire, je peinais à trouver mes mots, j’avais de brusques accès de colère… J’étais vraiment dans un sale état », témoigne cette chercheuse française de 50 ans, yeux bleus et cheveux relevés en chignon. « La transe m’a donné des outils au quotidien, notamment pour mieux me concentrer. Elle m’a aussi permis de me sentir beaucoup plus en accord avec mes possibilités et mes limites », ajoute-telle.

Une nouvelle habitude

Cette expérience a transformé la vie de ces femmes, à des degrés plus ou moins forts. Et la transe est souvent devenue un rituel. « Pour la TCAI, on constate que plus de 80 % de l’échantillon pratique très régulièrement, tous les jours ou trois à quatre fois par semaine », indique Nolwenn Marie.

Celles et ceux qui pratiquent rapportent que chaque transe est différente, en durée comme en intensité, et que cela reste un état dont il est possible de sortir à tout moment.

Nathalie décrit sa pratique comme légère, mais régulière. « Je ne peux pas y consacrer beaucoup de temps, mais j’essaie de m’y tenir, car j’ai remarqué que je me sens beaucoup mieux quand je l’intègre dans mon quotidien. J’essaie notamment de faire quelques minutes le matin, après ma session de yoga. Il y a aussi de courts moments dans la journée où j’utilise “le protolangage”, parce que c’est une très bonne manière de sortir une émotion comme la colère. Ça prend quelques secondes et ça me met tout de suite dans un autre état d’esprit. »

Celle qui a été le plus transformée est sans doute Christine. « La maladie avait déjà changé mon rapport à la mort, mais la transe a amplifié ce changement. J’ai compris que la mort fait partie de la vie, elle ne me fait plus peur. Mon vœu le plus cher est de former mes pairs, les soignants et les soignantes, pour leur apporter cet outil qui a révolutionné ma vie. » Dans cette perspective, elle a candidaté au diplôme universitaire sur l’étude des transes et des états de conscience modifiés, qui s’est ouvert à la rentrée 2021 à l’université Paris-VIII.

Des premiers résultats encourageants

Attention toutefois, à ce stade, impossible de tirer des conclusions scientifiques à partir du ressenti et de l’expérience de ces initiées. Pour l’instant, « on parle uniquement de tendances », soulignent prudemment nos chercheuses.

Concernant l’impact sur les symptômes suivis dans le cadre de l’étude, si une baisse des problèmes de sommeil et d’anxiété a été notée chez les participants aux groupes de transe, rien de notable n’a été relevé sur les douleurs. « Les premiers résultats sont encourageants, mais pour l’instant on ne peut tirer aucune conclusion concernant l’efficacité des différentes techniques étudiées en matière d’amélioration de la qualité de vie », insiste Charlotte Grégoire.

Si la partie de l’étude consacrée à la transe a bien avancé, le recrutement de participants est toujours en cours pour compléter les groupes de méditation et le groupe contrôle. Il faut donc attendre que l’étude arrive à son terme. Les premiers résultats scientifiques ne devraient pas être publiés avant 2025, au plus tôt.

1.SPRG : Sensation and Perception Research Group

2.Le prénom a été modifié.

Retrouvez cet article dans Rose Magazine (numéro 25, p. 56)


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