Série sport-thérapie
Mon « sport-thérapie » : l’aviron par Anissa
Cette jeune femme de 34 ans a 2 passions : la musique, depuis toujours, et l’aviron depuis la fin des traitements pour son cancer du sein. Rames en main, la vie lui paraît plus zen et douce…
Mon « sport-thérapie » : le trail par Fanny
Ultra-traileuse de haut niveau, cette pyrénéenne de 33 ans l’est devenue en moins de 10 ans. Le point de départ ? La découverte d’une tumeur neuro-endocrine sur son poumon gauche. On le lui retire. Commence alors un long parcours pour récupérer sa mobilité, son souffle, sa vie. Un défi qu’elle va mener au pas de course !
Mon « sport-thérapie » : le karaté par Magali
C’est en regardant sa fille pratiquer le karaté que cette maman de 44 ans a décidé d’enfiler à son tour un kimono. Et en 2022, en plein traitement de son cancer du sein, elle va réussir à décrocher sa ceinture noire. Un sacré défi !
Mon « sport-thérapie » : l’escrime par Hanane
Pas du tout sportive avant son cancer, cette jeune femme de 35 ans décide de réviser son hygiène de vie après son diagnostic. Elle s’essaie à l’escrime adaptée et découvre que manier l’épée fait autant transpirer que travailler ses méninges !
Mon « sport-thérapie » : l’équitation par Dorothée
Depuis 16 ans, Dorothée* et sa jument Tirelire forment une équipe soudée. Le cancer du sein métastatique qui touche la cavalière de 54 ans n’a rien changé. Sauf peut-être une chose : c’est Tirelire qui prend maintenant soin de Dorothée.
Mon « sport-thérapie » : la boxe par Mathilde et Charlotte
Enfiler les gants ? Sans le cancer, ces deux jeunes femmes n’en auraient sans doute jamais eu l’idée. Mais le besoin vital de ne pas subir la maladie, d’évacuer leur colère, la peur, les a poussées vers la boxe. Un sport de combat, et surtout de résilience...
Mon « sport-thérapie » : le tennis par Pia
Ses traitements pour cancer du sein métastatique, n’empêchent pas Pia, bordelaise de 49 ans, de continuer à jouer au tennis. Sur un court, elle est une joueuse comme les autres. Pas une malade. Une sensation précieuse.
Mon « sport-thérapie » : le surf par Céline
Avec l’annonce de son cancer du sein métastatique, cette basque de 43 ans, qui avait peur des vagues, a décidé de se mettre au surf. Un sport exigeant mais libérateur. Et qui la renforce… à tous les niveaux !
Mon « sport-thérapie » : le football par Catherine
Militaire, sportive depuis toujours, cette strasbourgeoise de 43 ans, avait remisé ses crampons lors de son premier cancer en 2010, pour finalement les rechausser à l’annonce du second en 2023. Plus qu’un sport, le foot est une passion qui lui fait oublier sa maladie.
Mon « sport-thérapie » : le CrossFit par Sandie
Avant le diagnostic de son cancer, cette jeune femme de 33 ans pratiquait déjà assidûment le CrossFit depuis plus de 2 ans. Avec la maladie pas question de laisser tomber ! Son sport lui a permis de garder un lien social. Un atout précieux pour mieux vivre la maladie.
Mon « sport-thérapie » : le rugby par Anne-Lise
Son premier cancer du sein, il y a 12 ans, avait déclenché chez cette montpelliéraine un besoin vital de faire du sport. Course à pied, handball… Aujourd’hui en récidive métastatique, elle s’est mise au rugby-santé. Une discipline où elle se sent portée par la force du collectif.
Mon « sport-thérapie » : le marathon par Anaïs Quemener
Aide-soignante et marathonienne de haut niveau, Anaïs Quemener, 33 ans, vit pour la course à pied depuis l’enfance. Touchée à l’âge de 24 ans par un cancer, elle a trouvé dans son sport un formidable allié pour récupérer plus vite, voir plus loin que la maladie et vivre plus fort.
Votre don nous aide à pérenniser nos actions d'information, d'accompagnement et de défense des droits des femmes touchées par tout type de cancer.
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Mais qui est vraiment Stéphane Vignes, spécialiste du lymphoedème ?
Chef du service de lymphologie de l’hôpital Cognacq-Jay, à Paris, centre de référence pour les lymphœdèmes primaires, il œuvre pour que ses patients gagnent en autonomie et en estime de soi.
24h dans une unité dédiée aux soins de support
De nombreux centres hospitaliers possèdent aujourd'hui un service entièrement consacré à la prévention et à la prise en charge de tous les effets secondaires liés aux thérapies anticancéreuses et à la maladie. On les appelle Disspo(1). À l'hôpital de Valencienne, les patients ont accès à un exceptionnel panel de soins. Immersion.
Les soins palliatifs, késako ?
Trop souvent associés à la fin de vie, les soins palliatifs sont destinés à toute personne touchée par une maladie devenue chronique. En quoi consistent-ils ? Quand peut-on en bénéficier ? Qui en fait la demande ? On vous explique tout.
Mon fils, le cancer et moi – « J’avais peur de plomber sa vie »
Que l’on soit une mère, un fils, une épouse ou un ami, le cancer bouleverse les relations avec nos proches. Pour Catherine, cette épreuve a confirmé que son fils Arthur était assez solide pour affronter des difficultés majeures.